Ouvrages collectifs
Date de publication : 2023 – 2022 - 2020 - 2018 - 2017
2023
J. Aguirre Santos, F. Casadesús Bordoy, N. Terceiro Sanmartín, J.M. Zamora Calvo (éd.), La transmisión del conocimiento en la Atenas democrática, Madrid, Guillermo Escolar Editor, 2023
2022
C. Obsomer, Liber Amicorum Jean-Claude Haelewyck édité par Claude Obsomer pour ses Septante ans, Louvain-la-Neuve, 2022, 670 pages. (= BABELAO 10-11)
Volume d'hommage en l'honneur d'un collègue de l'UCLouvain spécialiste des textes bibliques et textes chrétiens en syriaque…
Quatorze contributions concerne la Bible, cinq pour l'Ancien Testament, neuf pour le Nouveau Testament. Six articles sont consacrés aux langues sémitiques , tandis que deux articles concernent Grégoire de Nazianze. Enfin, les Miscellanea abordent des thèmes très divers touchant à la linguistique, la mythologie, le calendrier, l'archéologie, l'iconographie, ainsi que la carrière de l'un ou l'autre savant disparu.
2020-2021
H. Seldeslachts, T. Van Hal (éd.), Tam discretus quam egregius. Hommage au Professeur Lambert Isebaert, 2 vol., Namur 2020-2021, 489+462 pages. (= Les Études Classiques 88-89)
Bono uino hedera non opus est. L’enthousiasme qu’a suscité l’appel à contribuer à ces deux volumes de Mélanges en l’honneur de Lambert Isebaert en dit long sur l’affection que lui portent ses collègues et anciens élèves. En juin 2020, alors que ses étudiants passaient leurs examens dans les conditions bizarres imposées par l’épidémie de covid 19, masqués ou en distanciel, Lambert a fêté ses 65 ans. Promu au rang de professeur émérite en octobre 2020 – malheureusement sans les festivités habituelles –, il peut se prévaloir d’une carrière longue, riche et exceptionnellement variée. Pro- fesseur aux universités de Namur, Louvain-la-Neuve et Louvain (Leuven), dans deux régimes linguistiques, il a transmis, pendant près de quarante ans, avec autant de dévouement que d’efficacité, sa passion pour les langues anciennes à plusieurs générations d’étudiants ; il a dirigé en même temps d’innombrables mémoires et thèses de doctorat, et aidé de nombreux jeunes chercheurs à entamer une carrière académique. La grande diversité de ses cours et de ses publications témoigne de l’extrême variété de ses champs d’intérêt et de ses compétences, du proto-indo-européen au néo-latin et du vieux perse au grec ancien, sans oublier le tokharien, langue sur laquelle il avait fait sa thèse de doctorat et dont il est l’un des rares spécialistes au monde. Tous ceux qui ont eu le privilège de fréquenter son enseignement gardent en mémoire l’étendue de ses connaissances et en particulier son prodigieux talent pédagogique, servi par une rigueur méthodique, un sens indéfectible de la précision et de la structure, et un enthousiasme contenu mais perceptible – tout cela invariablement assaisonné d’un humour raffiné.
2018-2019
[C. Flament, C. Obsomer, P. Pietquin (éd.)], « Errare humanum est… perseverare diabolicum » À propos des erreurs d'interprétation des sources antiques, 2 fasc., Namur 2018-2019. (= Les Études classiques 86/2 et 87/4)
À l’heure actuelle, l’un des principaux écueils de la recherche en Antiquité est le recours de moins en moins systématique aux sources en langue originale. Cela a eu pour effet, dans certains cas, d’engager des pans entiers de la recherche dans des impasses. Le centre de recherche Fontes Antiquitatis, créé à l’Université de Namur en décembre 2016, dont l’objectif est de promouvoir l’étude de ces sources, a souhaité attirer l’attention sur ce thème lors d’un colloque international qui s’est tenu le 27 octobre 2017 à la Faculté de Philosophie et Lettres de l’université, dans le cadre des activités du nouvel Institut Patrimoines, Transmissions, Héritages (PaTHs). Ce colloque a également bénéficié du soutien financier du F.R.S.-FNRS et du Département de Langues et Littératures classiques de l’Université de Namur. Douze intervenants se sont attachés à présenter et à analyser des erreurs commises dans l’Antiquité tant orientale qu’occidentale, de l’époque pharaonique à l’époque byzantine, ainsi que des idées largement diffusées à notre époque, mais qui reposent sur une mauvaise compréhension des textes antiques.
2017
A.-M. Doyen, B. Van den Abeele, Chevaux, chiens, faucons. L'art vétérinaire antique et médiéval à travers les sources écrites, archéologiques et iconographiques, Louvain-la-Neuve, 2017. (Publications de l’Institut d’études médiévales. Actes, colloques, congrès, 28)
P. Assenmaker, A.-M. Doyen-Higuet (éd.), avec la collaboration de P. Pietquin, Étudier les lettres latines de part et d’autre du Rhin. Histoire littéraire, traduction, enseignement, Namur, 2017. (= Les Études Classiques 85/3, p. 189-317)
En 2014, sur la proposition de l’ambassadeur d’Allemagne en Belgique, l’Université de Namur a accueilli une Année allemande dans le cadre de laquelle fut organisée une série de manifestations scientifiques, culturelles et artistiques destinées à célébrer la langue et la culture – y compris scientifique– allemandes. Le Département de Langues et littératures classiques namurois y a vu une occasion privilégiée de réunir des représentants des diverses traditions d’étude et d’enseignement cultivées en Allemagne, en France et en Belgique francophone dans le domaine de la philologie classique. Le projet d’une telle rencontre a pu être concrétisé grâce au soutien de l’Université de Namur, du Fonds de la Recherche Scientifique - FNRS et du Ministre-Président de la Communauté germanophone de Belgique : nous le rappelons ici avec gratitude.
P. Assenmaker (dir.), avec la collaboration de S. Paternotte, Tite-Live, une histoire de livres – 2000 ans après la mort du Prince des historiens latins. Catalogue de l’exposition organisée à la Bibliothèque Universitaire Moretus Plantin, 11 septembre - 27 octobre 2017, Namur, PUN, 2017, 217 pages (lien)